Installé dans l’Ain définitivement à la Libération, c’est grâce à Henri Bourbon, député communiste que Roger Vailland réussit à entrer au Parti Communiste en dépit des manœuvres d’Aragon. Il partage la vie et l’action du député (qui est devenu son ami) et des militants du parti jusqu’à son retrait « sur la pointe des pieds» à la suite des révélations du rapport Khrouchtchev en 1956 lors du XXe congrès du PCUS.